Opțiuni
•   Topuri
•   Blog
•   Interviul aromat
•   Ceaiul englezesc
•   Locale
•   Mass media
•   Autori
•   Promovează
•   Colaboratori
•   Parteneri
•   Contact
Newsletter
personalizat
Înscrie-te pentru ceașca săptămânală de cultură:
Socializare
Abonare RSS Bookmark Recomandați portalul
Twitter Facebook Youtube
Acum niște ani
6 mai 2024
Recomandări
Impresionismul in Normandia
(Arte vizuale)
L’impressionnisme est-il né en Normandie, comme l’affirme Jacques-Sylvain Klein, le commissaire général des multiples manifestations qui auront lieu tout l’été de Cherbourg à Rouen, en passant par Caen, Giverny et d’autres hauts lieux de la peinture, dans la seconde moitié du XIXesiècle?? C’est aller un peu vite quand bien même nombre de peintres concernés passèrent par la Normandie, que Monet fut l’élève de Boudin et que c’est son tableau Impression, soleil levant, peint en 1872 au Havre, qui vit la naissance du mot avec l’exclamation d’un critique hostile?: «Impression, impression, bande d’impressionnistes.» Mais cela se passait à Paris en 1874, et les peintres qui exposent alors dans les anciens salons du célèbre photographe Nadar peignent à Argenteuil, en forêt de Fontainebleau, même en Bretagne…

une terre aimée des peintres Et c’est, quoi qu’on en dise, en forêt de Fontainebleau, en 1865, que Monet peint pour la première fois le tronc d’un chêne en bleu avec en premier plan un rang de fougères en orange, en donnant la sensation de l’ombre et de la distance, inaugurant ainsi cette révolution de la couleur qui va marquer la nouvelle peinture et ouvrir la voie par la suite aux fauves et à toute une partie de la peinture moderne, qui verra la couleur précisément conquérir son autonomie.
Cela dit, il est bien vrai que la Normandie a bien été, depuis les aquarellistes anglais dans la première partie du siècle, dont l’exceptionnel Bonnington, disparu prématurément, une terre aimée des peintres, avec la rencontre de la pratique en plein air et de l’invention du chemin de fer, rendant familiers les voyages de Paris vers la côte. Quoi qu’il en soit, le thème est l’occasion d’une telle floraison d’expositions, débats et autres, impliquant au total une soixantaine de villes et trois fois plus de lieux, qu’il est impossible d’en rendre compte.

cette recherche obstinée des variations de la lumière On ne peut faire l’impasse toutefois sur la grande exposition du musée des Beaux-Arts de Rouen, autour de Gauguin, Pissarro et Monet. D’abord parce que plus d’une dizaine de toiles de la série des Cathédrales de Rouen qui obséda ce dernier en 1892 et 1893 s’y trouvent rassemblées, démontrant à l’envi cette recherche obstinée des variations de la lumière qui conduira le peintre jusqu’à son étang de Giverny. Ensuite parce que la série des Ponts de Rouen de Camille Pissarro fait certainement partie des moments les plus riches de son œuvre, avec ces étonnants empâtements d’où la foule jaillit. Mais c’est aussi sur quelques découvertes que l’on peut s’arrêter, avec les peintres dits «de Rouen», méconnus. Joseph Delattre, Charles Angrand ou encore Albert Lebourg méritent beaucoup plus qu’un regard distrait. Parmi toutes ces manifestations, citons, par choix personnel, le festival de la Côte d’Albâtre à Dieppe et dans ses environs, avec une bonne place pour l’art contemporain, et, dans le Cotentin et à La Hague, les chemins à la découverte de Jean-François Millet..

Nume:

E-mail:


Mesaj:

(Comentariile trebuie sa fie de maximum 250 de caractere.)
Validare: 
(Introduceti codul pentru validare.) Reseteaza cod!
 
Autentificare
Am uitat parola / Cont nou!
Căutare
Prea multe rezultate?
Folosește căutarea avansată.
Publicitate